« Comment ça tient un
pont ? ? ? » Maintenant on sait ! Enfin, presque ! ! ! ! On a compris que le problème ce n’est pas le mur, mais le vide. Comment habiller du vide pour
qu’on puisse passer sur du plein en sécurité ?
Dès lors, construire c’est livrer un combat contre la gravité !
Chaque pont est particulier, unique et fait sur mesure. Il est une réponse technique adaptée au site.
Philippe Bret s’est attardé sur les ponts gersois, ceux de Eiffel dont ceux de Tarsac et de Lacaussade qui supportent une voie ferrée. Puis, successivement, Pavie (13ème ) Aurenque refait au 16ème, Fourcès, Lectoure ; le pont canal d’Agen sur la Baïse, le pont Neuf à Toulouse…
Une belle soirée d’où l’on sort avec les neurones rafraîchis, qui s’est achevée par un pot amical au cours duquel l’échange a continué.
une gêne extrême, comment "essayer" de donner tant d'expression, et,
d'autre part le désir de "faire", attirée par cette apparente simplicité d'expression!... la découverte de nouvelles techniques, de peinture, d'outils, ont provoqué un enthousiasme qui
a libéré ma crainte de faire. Et puis, le plaisir s'est installé: manipuler, expérimenter, essayer. C'est le très bon côté du stage qui fut, en plus, stimulant, enrichissant,
sympathique. Il m'a permis d'avoir le plaisir de découvrir, de faire, de m'évader.
nous étions visiblement reçus chez "un Maître" en matière artistique qui, de surcroît, acceptait que nous envahissions son univers. Nous avons ainsi
découvert la cuisine de l'artiste qui, sans réserve, nous révélait quelques une de ses recettes. Je ne sais pas dire si beaucoup de créateurs sont prêts à cela en règle générale. J'en
doute.
problème
de la représentation de la nature. En fait, il s'agit d'utiliser cette nature pour créer une image qui suggérera la nature et la transformera au point de n'avoir plus de rapport avec
l'observation originale. L'observation n'est plus qu'un support et sa transformation risque de déboucher sur une certaine forme d'abstraction.-En fait l'objectif de cette journée ne
semble pas avoir été ce problème d'interprétation mais plutôt la connaissance d'une technique basée sur la liberté du geste. La dimension des pinceaux mis à disposition allait dans ce
sens et a impressionné nombreux stagiaires.-La patience d'Alain et son implication furent très positives. Il est regrettable que les différents commentaires qu'il a faits lors de ces
corrections individuelles n'aient pas été enregistrées ou entendues par l'ensemble des stagiaires.
La liberté au bout du pinceau, c'est ça le problème! Se délester de plus
Ce fut pour
moi, une journée de découverte, 
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